07/04/2025

Le risque de baisse dépendra de la réaction des consommateurs

07/04/2025

À Genève, le projet de Campus Santé, avec son milliard d’investissements, va sortir de terre

07/04/2025

Art, tech et audace : suivez l’exemple de Pierre Coutaz et déposez votre projet avant le 13 avril !

07/04/2025

Bienvenue dans ce podcast pas comme les autres…

07/04/2025

De l’idée au prototype : pourquoi un makerspace change tout


Isabelle en live


30 janvier 2025 Le Verdaine - rue Verdaine 9
17h00 1204 Genève
GENEVE CH

Isabelle Wachsmuth est responsable de projets à l’Organisation Mondiale de la Santé, en charge du mouvement Art Impact For Health and SDGs qui organise des évènements dans le monde entier autour de l’art et de la santé.

Jeudi 30 janvier, sur inspiration de la musique qui sera également jouée en live par l'artiste Dorian Gray, elle réalisera une peinture en live, avec l'aide des personnes présentes. 

Qui êtes-vous en quelques mots ?

Isabelle Wachsmuth : J’ai un parcours un peu atypique, je suis biologiste avec une spécialisation en homéostasie, physiologie et neurosciences. J’ai la chance d’avoir une vision holistique (qui s'intéresse à son objet dans sa globalité, NDLR) de la vie et de la santé grâce à toutes ces disciplines. Je suis également artiste-peintre. Ce parcours me permet de faire le pont entre la science et l’art.

Pouvez-vous nous en dire un peu plus sur votre travail d’artiste ?

Ma peinture est très abstraite et très colorée. Je travaille beaucoup avec la musique, autour des fréquences élevées et de leur influence sur notre créativité et notre lâcher-prise. C’est une peinture très intuitive, pas du tout dirigée ni académique.

Comment en êtes-vous venue à lancer le mouvement Art Impact For Health and SDGs à l’OMS ?

J’ai d’abord commencé à l’extérieur de l’OMS, avec des partenaires, en réfléchissant à la façon dont l’art pouvait être un moyen de dialoguer avec la population en proposant une approche plus humaine. J’ai d’abord organisé une exposition sur les violences faites aux femmes, testée localement en France, puis au Palais des Nations Unies. J’ai allié le processus scientifique de résilience - les étapes psychologiques par lesquelles les femmes passent pour se sortir de cette violence - à l’expression artistique. J’ai ensuite présenté chaque année une nouvelle exposition, avec l’idée de mobiliser le public et les institutions sur ces sujets. J’ai vu que l’art était vraiment une façon universelle de communiquer mais aussi de faire des liens entre les disciplines. Puis à un moment donné, j’ai eu la possibilité d’introduire l’art dans mon activité professionnelle à l’OMS.

Quels ont été quelques-uns de vos projets principaux ?

Nous avons travaillé avec des enfants touchés par les fentes labiales dans plusieurs pays du monde, notamment en Afrique. L’idée était de travailler avec ces enfants sur le thème des masques en impliquant des artistes locaux. J’ai aussi travaillé pour le Congrès mondial du cancer avec l’objectif de valoriser les patients, leur donner une voix à travers l’art, retranscrire ce qu’ils ressentent sous forme de poèmes ou de portraits. Nous valorisons toutes ces actions de terrain dans les expositions internationales que l’on réalise chaque année. Notre rôle est de démocratiser l’art, le rendre accessible, mais aussi d’enrichir le regard et la réflexion à travers une expression artistique, et de stimuler le dialogue.

Merci de nous signaler votre venue afin de vous accueillir comme il se doit !





    Programme et détails

    17h00 : accueil 

    18h00 : peinture en live sur inspiration musicale

    19h00 : fin


    Conférenciers


    Les pitchs


    Ces évènements pourraient vous intéresser